On me demande s'il est nécessaire d'être un joueur de tennis pour être accompagné.
J'accompagne aussi naturellement dans le domaine scolaire, des études, de la musique et des arts, de la vie quotidienne et du bien-être global.
On me demande si j'ai toujours fait ce métier !
J'étais mère avant tout et professeure des écoles en maternelle.
Puis je me suis formée en 2008 dans le domaine de la respiration consciente. Je suis devenue psychopraticienne en respiration consciente en 2013 et depuis j'aide des personnes à traverser des moments d'incertitude, d'anxiété, pour retrouver leur joie et leur sécurité intérieure. La respiration consciente amène le lâcher-prise et libère les émotions, même les émotions enfouies. C'est un outil extraordinaire.
Quand je me suis formée dans le domaine de la préparation mentale et l'aide à la performance à Clermont-Ferrand, c'était pour moi une façon d'enrichir ma pratique en retrouvant un univers qui me tenait à coeur : le sport. J'ai grandi dans le sport, j'y ai fait mes études (master STAPS), j'ai toujours eu ce besoin d'être à l'écoute du corps.
On me demande aussi si j'ai des enfants.
Oui, j'en ai 4 ! Chacun d'eux joue au tennis, le dernier joue encore beaucoup. Mais pour les trois premiers ils ont finalement choisi l'équitation, le jujitsu, le basket...
On me demande souvent si je joue au tennis...
Oui, je joue au tennis depuis l'âge de 7 ans et je continue à jouer. J'aime ce sport, je l'ai toujours aimé. Il m'a beaucoup apporté. J'ai appris sur moi en faisant de la compétition, en dépassant mes propores limites, en ressentant l'importance du collectif dans un sport pourtant individuel.
J'étais classée 15.
Il y avait une atmosphère au tennis, une dynamique, un esprit de famille et de vacances, mêlée à de l'exigence.